AZTEC : le second Roswell
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AZTEC : le second Roswell
L’écrivain de Caroline du Nord Scott Ramsey a passé ces vingt dernières années à enquêter sur un présumé crash d’ovni à Aztec au Nouveau Mexique. L’enquête l'a mené à Mancos.
L’histoire raconte que le 25 mars 1948, à environ cinq heures du matin, des travailleurs de la El Paso Oil Company ont été appelés à se rendre à Hart Canyon Road au nord-est d’Aztec, en raison d’un feu de broussailles proche de citernes de carburant.
Après s’être rendu compte que le feu de broussailles ne représentait pas une menace, les travailleurs remarquèrent un très grand disque lenticulaire sur le sol.
Ramsey trouve encore maintenant des témoins qui ont vu l’objet ce jour-là et son enquête montre qu’il y avait des fermiers, des employés de la sécurité, des employés des champs pétrolifères et d’autres personnes, dont deux officiers de police.
Il devait y avoir probablement en tout de seize à dix-huit témoins. Cette région était particulièrement désolée et elle l’est encore aujourd’hui.
Il paraît que cette zone a été sujette à de nombreuses observations d’ovnis pendant des années. Ramsey reçoit régulièrement des appels de gens qui font des observations bizarres aux alentours des autoroutes 550 et 160. Il semblerait que les habitants de la région ont par le passé aussi vu d’étranges objets. Cela remonterait si loin que quelques pétroglyphes montrent des engins en forme de disque ou de soucoupe. Ramsey n’a aucune explication quant à savoir pourquoi ces choses se passent particulièrement dans cette région.
Ramsey ne s’occupe en général pas de la problématique des ovnis, mais a commencé néanmoins à planifier la rédaction d’un livre sur le crash d’Aztec de 1948. Tout a commencé lors d’un voyage d’affaires à Durango, au cours duquel il a entendu parler de ce crash, ce qui a piqué sa curiosité. Plus il a approfondi cette histoire et plus il y a découvert des développements. Il a interviewé des douzaines de témoins et travaillé sur des documents gouvernementaux déclassifiés.
Il a gardé un profil bas pendant la plus grande partie de son enquête: il est plus facile de faire déclassifier des informations par les autorités si celles-ci pensent avoir affaire à quelqu’un qui fait seulement des recherches personnelles. Ça devient en revanche plus compliqué si elles apprennent que les informations transmises vont être diffusées sur le «History Channel» où Ramsey, en fait, est apparu dans une émission appelée «Dossiers Ovnis». L’épisode s’appelait «Hangar 18» et fut diffusé le 4 novembre 2006. Il sera probablement rediffusé ultérieurement.
Un grand secret a entouré cet incident, des témoins ayant été constants dans leur affirmation selon laquelle des agents du gouvernement leur auraient fait jurer de garder le silence là-dessus pendant une cinquantaine d’années.
En 1948, si le gouvernement vous faisait jurer de garder le secret, vous ne vous posiez pas de questions et obéissiez.
À présent, les cinquante ans passés, ils veulent parler de leur expérience. Ils ont raconté que, sitôt le disque découvert, du personnel militaire dont ils ignoraient l’origine a fait dégager la zone rapidement. Ramsey pense qu’il devait s’agir d’un groupe rattaché à la Division de la 5ème Armée du Colorado.
Ce fut une opération de deux semaines destinée à récupérer l’un des plus grands engins présumé dont l’armée ait eu à s’occuper. Pendant toute l’opération les civils ont été tenus à l’écart, et les militaires avaient posté des sentinelles en armes sur toutes les éminences principales de la zone environnante.
Des traces de cette récupération ont persisté jusqu’aujourd’hui.
Les militaires durent construire une route dans le but unique de pouvoir procéder à la récupération. Un officier de l’Air Force à la retraite a donné à Ramsey quelques éléments de recherche. Il a dit qu’après que la route ait été construite, le sol était trop meuble et une couche de béton dut être posée pour permettre de supporter le poids d’une grue.
Un habitant de Farmington, Randy Barnes, qui menait ses propres recherches, découvrit avec grand étonnement des dalles de béton fortement renforcées par des barres d’acier, qui semblaient perdues au milieu de nulle part.
L’officier à la retraite ne s’était quant à lui pas trouvé directement sur les lieux du crash, mais avait dû travailler un peu en retrait de la zone.
Sa famille ne désire absolument pas que son nom soit divulgué.
L’enquête conduisit Ramsey à Mancos, où il apprit qu’un ancien résident de cette localité, Walt Sayre, habitant actuellement dans le Montana, avait entendu une histoire au sujet du pasteur Autrey Brown, en service en 1948 au sein de l’Église Baptiste de Mancos.
Selon Sayre, le pasteur aurait fait part à quelques amis proches (dont le père de Sayre) de son expérience déstabilisante d'être tombé par hasard sur le site du crash.
Il revenait juste d’Aztec et avait remarqué de l’agitation sur Hart Canyon Road. Il se rendit sur place pour voir s’il ne pouvait pas être de quelque utilité, et se retrouva au millieu d'une intense activité autour du disque au sol. Il raconta qu’il dut administrer les derniers sacrements à de «petits corps» éparpillés autour des lieux du crash et qu’ensuite les militaires ont chassé tout le monde hors de la zone.
Il était «très, très bouleversé par cette expérience» et pleurait en racontant son histoire à Sayre.
Selon Ramsey, les témoins ont tous affirmé que ce qu’ils avaient vécu avait changé leur vie, et que leur système de croyance en fut ébranlé.
Ils sont unanimes pour dire qu’il s’agissait d’un engin lenticulaire, d’un diamètre de trente mètres, apparemment non abîmé, comme si l’atterrissage avait été contrôlé.
Tous virent au moins deux corps au travers d’une porte-fenêtre vitrée et ont décrit des humanoïdes d’une taille d’environ un mètre cinquante, avec une tête en forme d’amande. Il semblait que tous avaient subi des brûlures.
Deux témoins parmi les militaires ont affirmé qu’il y avait quatorze à seize corps placés dans des «body bags».
Dans les semaines qui ont précédé le présumé crash, d’après des documents déclassifiés de l’Air Force, des résidents de Cuba au Nouveau Mexique ont rapporté avoir vu de grands engins dont la structure avait la forme d’un disque.
Ramsey a aussi appris grâce à ce même type de documents que l’Air Force avait dépêché le docteur LaPaz à Cuba (NM) avec deux officiers de haut rang. Le groupe passa trois jours à Cuba pour expliquer aux habitants que ce qu’ils avaient vu était des météorites.
Dans un autre rapport déclassifié, LaPaz affirmait avoir observé un grand engin structuré. Il écrivit: «Le gouvernement va avoir de la difficulté à expliquer ce qu’est cet engin».
Ramsey a beaucoup compté sur les documents déclassifiés pour effectuer son enquête sur le crash.
CInterroger des témoins est toujours excitant, mais je compte surtout sur des données provenant des militaires. L’incident d’Aztec est une affaire importante impliquant l’Air Force, la CIA, le FBI et l’U.S. Army», a-t-il dit, ajoutant que son enquête a démontré qu'en 1952 le FBI a intercepté des photos du crash en noir et blanc, destinées à être vendues à l’Edelweiss Bar du Merlin Hotel au centre ville de Denver.
Ramsey n’a pas vu les photos mais croit qu’elles existent bel et bien. «Des civils ont pris des photos mais affirment que les militaires les leur ont confisquées» dit-il.
L’histoire raconte que le 25 mars 1948, à environ cinq heures du matin, des travailleurs de la El Paso Oil Company ont été appelés à se rendre à Hart Canyon Road au nord-est d’Aztec, en raison d’un feu de broussailles proche de citernes de carburant.
Après s’être rendu compte que le feu de broussailles ne représentait pas une menace, les travailleurs remarquèrent un très grand disque lenticulaire sur le sol.
Ramsey trouve encore maintenant des témoins qui ont vu l’objet ce jour-là et son enquête montre qu’il y avait des fermiers, des employés de la sécurité, des employés des champs pétrolifères et d’autres personnes, dont deux officiers de police.
Il devait y avoir probablement en tout de seize à dix-huit témoins. Cette région était particulièrement désolée et elle l’est encore aujourd’hui.
Il paraît que cette zone a été sujette à de nombreuses observations d’ovnis pendant des années. Ramsey reçoit régulièrement des appels de gens qui font des observations bizarres aux alentours des autoroutes 550 et 160. Il semblerait que les habitants de la région ont par le passé aussi vu d’étranges objets. Cela remonterait si loin que quelques pétroglyphes montrent des engins en forme de disque ou de soucoupe. Ramsey n’a aucune explication quant à savoir pourquoi ces choses se passent particulièrement dans cette région.
Ramsey ne s’occupe en général pas de la problématique des ovnis, mais a commencé néanmoins à planifier la rédaction d’un livre sur le crash d’Aztec de 1948. Tout a commencé lors d’un voyage d’affaires à Durango, au cours duquel il a entendu parler de ce crash, ce qui a piqué sa curiosité. Plus il a approfondi cette histoire et plus il y a découvert des développements. Il a interviewé des douzaines de témoins et travaillé sur des documents gouvernementaux déclassifiés.
Il a gardé un profil bas pendant la plus grande partie de son enquête: il est plus facile de faire déclassifier des informations par les autorités si celles-ci pensent avoir affaire à quelqu’un qui fait seulement des recherches personnelles. Ça devient en revanche plus compliqué si elles apprennent que les informations transmises vont être diffusées sur le «History Channel» où Ramsey, en fait, est apparu dans une émission appelée «Dossiers Ovnis». L’épisode s’appelait «Hangar 18» et fut diffusé le 4 novembre 2006. Il sera probablement rediffusé ultérieurement.
Un grand secret a entouré cet incident, des témoins ayant été constants dans leur affirmation selon laquelle des agents du gouvernement leur auraient fait jurer de garder le silence là-dessus pendant une cinquantaine d’années.
En 1948, si le gouvernement vous faisait jurer de garder le secret, vous ne vous posiez pas de questions et obéissiez.
À présent, les cinquante ans passés, ils veulent parler de leur expérience. Ils ont raconté que, sitôt le disque découvert, du personnel militaire dont ils ignoraient l’origine a fait dégager la zone rapidement. Ramsey pense qu’il devait s’agir d’un groupe rattaché à la Division de la 5ème Armée du Colorado.
Ce fut une opération de deux semaines destinée à récupérer l’un des plus grands engins présumé dont l’armée ait eu à s’occuper. Pendant toute l’opération les civils ont été tenus à l’écart, et les militaires avaient posté des sentinelles en armes sur toutes les éminences principales de la zone environnante.
Des traces de cette récupération ont persisté jusqu’aujourd’hui.
Les militaires durent construire une route dans le but unique de pouvoir procéder à la récupération. Un officier de l’Air Force à la retraite a donné à Ramsey quelques éléments de recherche. Il a dit qu’après que la route ait été construite, le sol était trop meuble et une couche de béton dut être posée pour permettre de supporter le poids d’une grue.
Un habitant de Farmington, Randy Barnes, qui menait ses propres recherches, découvrit avec grand étonnement des dalles de béton fortement renforcées par des barres d’acier, qui semblaient perdues au milieu de nulle part.
L’officier à la retraite ne s’était quant à lui pas trouvé directement sur les lieux du crash, mais avait dû travailler un peu en retrait de la zone.
Sa famille ne désire absolument pas que son nom soit divulgué.
L’enquête conduisit Ramsey à Mancos, où il apprit qu’un ancien résident de cette localité, Walt Sayre, habitant actuellement dans le Montana, avait entendu une histoire au sujet du pasteur Autrey Brown, en service en 1948 au sein de l’Église Baptiste de Mancos.
Selon Sayre, le pasteur aurait fait part à quelques amis proches (dont le père de Sayre) de son expérience déstabilisante d'être tombé par hasard sur le site du crash.
Il revenait juste d’Aztec et avait remarqué de l’agitation sur Hart Canyon Road. Il se rendit sur place pour voir s’il ne pouvait pas être de quelque utilité, et se retrouva au millieu d'une intense activité autour du disque au sol. Il raconta qu’il dut administrer les derniers sacrements à de «petits corps» éparpillés autour des lieux du crash et qu’ensuite les militaires ont chassé tout le monde hors de la zone.
Il était «très, très bouleversé par cette expérience» et pleurait en racontant son histoire à Sayre.
Selon Ramsey, les témoins ont tous affirmé que ce qu’ils avaient vécu avait changé leur vie, et que leur système de croyance en fut ébranlé.
Ils sont unanimes pour dire qu’il s’agissait d’un engin lenticulaire, d’un diamètre de trente mètres, apparemment non abîmé, comme si l’atterrissage avait été contrôlé.
Tous virent au moins deux corps au travers d’une porte-fenêtre vitrée et ont décrit des humanoïdes d’une taille d’environ un mètre cinquante, avec une tête en forme d’amande. Il semblait que tous avaient subi des brûlures.
Deux témoins parmi les militaires ont affirmé qu’il y avait quatorze à seize corps placés dans des «body bags».
Dans les semaines qui ont précédé le présumé crash, d’après des documents déclassifiés de l’Air Force, des résidents de Cuba au Nouveau Mexique ont rapporté avoir vu de grands engins dont la structure avait la forme d’un disque.
Ramsey a aussi appris grâce à ce même type de documents que l’Air Force avait dépêché le docteur LaPaz à Cuba (NM) avec deux officiers de haut rang. Le groupe passa trois jours à Cuba pour expliquer aux habitants que ce qu’ils avaient vu était des météorites.
Dans un autre rapport déclassifié, LaPaz affirmait avoir observé un grand engin structuré. Il écrivit: «Le gouvernement va avoir de la difficulté à expliquer ce qu’est cet engin».
Ramsey a beaucoup compté sur les documents déclassifiés pour effectuer son enquête sur le crash.
CInterroger des témoins est toujours excitant, mais je compte surtout sur des données provenant des militaires. L’incident d’Aztec est une affaire importante impliquant l’Air Force, la CIA, le FBI et l’U.S. Army», a-t-il dit, ajoutant que son enquête a démontré qu'en 1952 le FBI a intercepté des photos du crash en noir et blanc, destinées à être vendues à l’Edelweiss Bar du Merlin Hotel au centre ville de Denver.
Ramsey n’a pas vu les photos mais croit qu’elles existent bel et bien. «Des civils ont pris des photos mais affirment que les militaires les leur ont confisquées» dit-il.
Re: AZTEC : le second Roswell
Merci GooZ, je n'ai pas encore regardée la vidéo qui est assez longue, mais le récit m'a captivée.
je ne comprends pas pourquoi tout ce qui touche aux extraterrestres, aux Ovnis etc... est sujet tabou et que les "autorités" d'où qu'elles soient, tiennent au secret. Est-ce par peur d'affoler les populations ? est-ce le goût du secret ? est-ce pour nier l'existence d'autres peuples quelque part dans la galaxie ?
Pourtant, maintenant tout le temps des langues se délient, des photos d'ovnis sont prises par des particuliers sérieux et pas par des plaisantins, alors ? Allons-nous enfin avoir droit à des révélations qui nous sont dues, à nous habitants de la Terre ?
je ne comprends pas pourquoi tout ce qui touche aux extraterrestres, aux Ovnis etc... est sujet tabou et que les "autorités" d'où qu'elles soient, tiennent au secret. Est-ce par peur d'affoler les populations ? est-ce le goût du secret ? est-ce pour nier l'existence d'autres peuples quelque part dans la galaxie ?
Pourtant, maintenant tout le temps des langues se délient, des photos d'ovnis sont prises par des particuliers sérieux et pas par des plaisantins, alors ? Allons-nous enfin avoir droit à des révélations qui nous sont dues, à nous habitants de la Terre ?
Mélusine- Messages : 5302
Date d'inscription : 17/03/2013
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