Quelques mystèrieuses structures encore inexpliquées
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Quelques mystèrieuses structures encore inexpliquées
Les archéologues ne sont pas d’intrépides aventuriers comme Indiana Jones : ils fouillent, creusent, recherchent dans le sable ou les forêts tropicales en quête d’indices sur le passé de l’humanité. Et si la plupart du temps leurs découvertes répondent aux questions que beaucoup se posaient, certaines restent de véritables mystères… C’est le cas de ces 5 mystérieux vestiges qui suivent !
1. Teotihuacan, la cité des dieux
La cité de Teotihuacan se situe à seulement quelques kilomètres de la ville de Mexico. Contrairement aux apparences, ce n’est pas le nom original de la cité : c’est le nom que le peuple Aztèque lui a donné après l’avoir découverte et investie. Car en effet, ce ne sont pas eux qui l’ont bâtie, ils l’ont seulement découverte alors qu’elle était déjà vieille de 500 ans.
Ses origines restent encore un mystère : personne ne sait quelle civilisation l’a construite, qui l’a habitée ou encore pourquoi ils ont tous disparu avant que les Aztèques arrivent. Comme eux-mêmes ne le savaient pas, ils ont baptisé l’endroit la « cité des dieux » en pensant qu’elle avait été érigée par des forces surnaturelles.
Ce que les archéologues savent c’est qu’à son apogée, la cité a pu abriter jusqu’à 250 000 personnes en son sein. Ils ont également retrouvé des traces de rituels sacrificiels, notamment les corps de 200 personnes décapitées. Le plus fascinant dans cette cité, c’est que 95% de celle-ci est encore enfouie dans la terre. Cela prendra donc beaucoup de temps avant que Teotihuacan ne révèle tous ses secrets.
2. L’œuvre des Anciens
L’œuvre des Anciens (« the work of the old men » en anglais) est une série de structures imposantes mais seulement visibles depuis le ciel, situées dans les régions désertiques de Syrie, de Jordanie ou encore d’Arabie Saoudite. Repérées par un pilote d’avion, ces traces à moitié circulaires sont un peu le penchant arabique des fameux géoglyphes de Nazca, au Pérou. Interrogés, les bédouins qui vivent dans les environs ont décrit ces cercles impressionnants et mystérieux comme étant l’œuvre des anciens. Une appellation mystérieuse pour des symboles qui le sont tout autant : les scientifiques n’ont aucune explication concernant l’origine de ces traces dans le désert. Personne ne sait qui les a réalisés et dans quel but. Vous pouvez les regarder par vous-même en allant sur Google Maps.
3. La structure sous-marine dans un lac d’Israël
Découverte il y a dix ans, cette structure apparemment rocheuse est enfouie dans les profondeurs du lac appelé Mer de Galilée, près d’Israël. La découverte a été faite par deux scientifiques qui ont procédé à l’examen du lac par un sonar. Et là surprise : à moins d’un kilomètre des bords du lac, ils découvrent une sorte de grand disque de 50 mètres de diamètre.
Des plongées ont été organisées pour découvrir ce qui se cache derrière cette ombre mystérieuse : il s’agit en fait d’un tas de gros et petits cailloux empilés, un tumulus vraisemblablement créé par l’Homme. C’est bien là le problème puisque les scientifiques n’arrivent toujours pas à comprendre d’où peut venir ce monument englouti. Surtout que le tumulus aurait entre 2 000 à 12 000 ans.
4. Nan Madol
Nan Madol est une ruine vieille d’au moins un millénaire qui se situe au sud-est de l’île de Pohnpei, en Micronésie. Elle est connue pour être une cité artificielle bâtie sur des canaux, ce qui lui a valu le surnom de « Venise du Pacifique. »
Mais au-delà de la beauté, il semble y avoir une malédiction qui plane au-dessus de l’ancienne cité puisque les habitants de la région refusent même d’en parler. Ce ne sont donc pas eux qui nous en apprendront plus sur Nan Madol, et c’est bien dommage puisque les archéologues n’ont toujours aucune information concernant les origines de la ville à l’heure actuelle.
Ce qui intéresse le plus les chercheurs est de savoir d’où viennent les immenses blocs de pierres (certaines parties des bâtiments pèsent jusqu’à 50 tonnes). Il se pourrait qu’ils viennent d’îlots voisins, mais il a sûrement fallu un travail titanesque pour les transporter d’île en île pour bâtir Nan Madol.
5. Le Cercle de Goseck
Découvert en 2003, le Cercle de Goseck est considéré par la NASA comme l’un des tous premiers observatoires astronomiques de l’Humanité (parmi lesquels on compte Angkor Vat ou encore Stonehenge).
Situé dans le land allemand de Saxe-Anhalt, cet observatoire est composé de trois cercles concentriques faits de terre et de bois avec un poteau en bois planté en plein milieu de ces cercles, servant ainsi de cadran solaire gigantesque. Il a été découvert grâce aux progrès de l’archéologie aérienne.
Des recherches plus récentes ont également trouvé ce qui semble être des restes de feux rituels et sacrificiels. Pourtant, selon les travaux du spécialiste Wolfhard Schlosser, cette installation était surtout utilisée à des fins agricoles et communautaires, bien que la dimension religieuse était, selon lui, indissociable du reste.
Bonus : L’homme de Marree
Comme ses cousins péruviens du désert de Nazca, l’Homme de Marree est un géoglyphe mystérieux, cette fois situé en Australie. Ses origines sont également inconnues même si beaucoup attribuent sa construction au peuple aborigène Pitjantjatjara. Ce qui fait sa particularité est qu’il est le plus grand géoglyphe jamais découvert sur Terre puisqu’il est long de 4,1 kilomètres et fait près de 15 kilomètres de circonférence. Il représente un homme pointant un bâton vers le ciel, sûrement chassant un animal.
Les mystères qui entourent ces découvertes archéologiques nous font un peu froid dans le dos. Mais découvrir de tels monuments et ne pas savoir d’où ils viennent est vraiment une chose fascinante.
DGS
1. Teotihuacan, la cité des dieux
La cité de Teotihuacan se situe à seulement quelques kilomètres de la ville de Mexico. Contrairement aux apparences, ce n’est pas le nom original de la cité : c’est le nom que le peuple Aztèque lui a donné après l’avoir découverte et investie. Car en effet, ce ne sont pas eux qui l’ont bâtie, ils l’ont seulement découverte alors qu’elle était déjà vieille de 500 ans.
Ses origines restent encore un mystère : personne ne sait quelle civilisation l’a construite, qui l’a habitée ou encore pourquoi ils ont tous disparu avant que les Aztèques arrivent. Comme eux-mêmes ne le savaient pas, ils ont baptisé l’endroit la « cité des dieux » en pensant qu’elle avait été érigée par des forces surnaturelles.
Ce que les archéologues savent c’est qu’à son apogée, la cité a pu abriter jusqu’à 250 000 personnes en son sein. Ils ont également retrouvé des traces de rituels sacrificiels, notamment les corps de 200 personnes décapitées. Le plus fascinant dans cette cité, c’est que 95% de celle-ci est encore enfouie dans la terre. Cela prendra donc beaucoup de temps avant que Teotihuacan ne révèle tous ses secrets.
2. L’œuvre des Anciens
L’œuvre des Anciens (« the work of the old men » en anglais) est une série de structures imposantes mais seulement visibles depuis le ciel, situées dans les régions désertiques de Syrie, de Jordanie ou encore d’Arabie Saoudite. Repérées par un pilote d’avion, ces traces à moitié circulaires sont un peu le penchant arabique des fameux géoglyphes de Nazca, au Pérou. Interrogés, les bédouins qui vivent dans les environs ont décrit ces cercles impressionnants et mystérieux comme étant l’œuvre des anciens. Une appellation mystérieuse pour des symboles qui le sont tout autant : les scientifiques n’ont aucune explication concernant l’origine de ces traces dans le désert. Personne ne sait qui les a réalisés et dans quel but. Vous pouvez les regarder par vous-même en allant sur Google Maps.
3. La structure sous-marine dans un lac d’Israël
Découverte il y a dix ans, cette structure apparemment rocheuse est enfouie dans les profondeurs du lac appelé Mer de Galilée, près d’Israël. La découverte a été faite par deux scientifiques qui ont procédé à l’examen du lac par un sonar. Et là surprise : à moins d’un kilomètre des bords du lac, ils découvrent une sorte de grand disque de 50 mètres de diamètre.
Des plongées ont été organisées pour découvrir ce qui se cache derrière cette ombre mystérieuse : il s’agit en fait d’un tas de gros et petits cailloux empilés, un tumulus vraisemblablement créé par l’Homme. C’est bien là le problème puisque les scientifiques n’arrivent toujours pas à comprendre d’où peut venir ce monument englouti. Surtout que le tumulus aurait entre 2 000 à 12 000 ans.
4. Nan Madol
Nan Madol est une ruine vieille d’au moins un millénaire qui se situe au sud-est de l’île de Pohnpei, en Micronésie. Elle est connue pour être une cité artificielle bâtie sur des canaux, ce qui lui a valu le surnom de « Venise du Pacifique. »
Mais au-delà de la beauté, il semble y avoir une malédiction qui plane au-dessus de l’ancienne cité puisque les habitants de la région refusent même d’en parler. Ce ne sont donc pas eux qui nous en apprendront plus sur Nan Madol, et c’est bien dommage puisque les archéologues n’ont toujours aucune information concernant les origines de la ville à l’heure actuelle.
Ce qui intéresse le plus les chercheurs est de savoir d’où viennent les immenses blocs de pierres (certaines parties des bâtiments pèsent jusqu’à 50 tonnes). Il se pourrait qu’ils viennent d’îlots voisins, mais il a sûrement fallu un travail titanesque pour les transporter d’île en île pour bâtir Nan Madol.
5. Le Cercle de Goseck
Découvert en 2003, le Cercle de Goseck est considéré par la NASA comme l’un des tous premiers observatoires astronomiques de l’Humanité (parmi lesquels on compte Angkor Vat ou encore Stonehenge).
Situé dans le land allemand de Saxe-Anhalt, cet observatoire est composé de trois cercles concentriques faits de terre et de bois avec un poteau en bois planté en plein milieu de ces cercles, servant ainsi de cadran solaire gigantesque. Il a été découvert grâce aux progrès de l’archéologie aérienne.
Des recherches plus récentes ont également trouvé ce qui semble être des restes de feux rituels et sacrificiels. Pourtant, selon les travaux du spécialiste Wolfhard Schlosser, cette installation était surtout utilisée à des fins agricoles et communautaires, bien que la dimension religieuse était, selon lui, indissociable du reste.
Bonus : L’homme de Marree
Comme ses cousins péruviens du désert de Nazca, l’Homme de Marree est un géoglyphe mystérieux, cette fois situé en Australie. Ses origines sont également inconnues même si beaucoup attribuent sa construction au peuple aborigène Pitjantjatjara. Ce qui fait sa particularité est qu’il est le plus grand géoglyphe jamais découvert sur Terre puisqu’il est long de 4,1 kilomètres et fait près de 15 kilomètres de circonférence. Il représente un homme pointant un bâton vers le ciel, sûrement chassant un animal.
Les mystères qui entourent ces découvertes archéologiques nous font un peu froid dans le dos. Mais découvrir de tels monuments et ne pas savoir d’où ils viennent est vraiment une chose fascinante.
DGS
Re: Quelques mystèrieuses structures encore inexpliquées
ou la la je vais finir par penser que nous ne sommes pas seuls
Invité- Invité
Re: Quelques mystèrieuses structures encore inexpliquées
je suis vraiment passionnée par toutes ces recherches. Nous sommes loin d'avoir tout découvert.... tant mieux ! je m'en pourlèche les babines comme une gourmande...
Mélusine- Messages : 5302
Date d'inscription : 17/03/2013
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