Chronique d'un départ
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Chronique d'un départ
Je suis en train de lire ce livre du duo Givaudan/Meurois. Le récit de cette fin de vie accompagnée par des âmes décorporées est d'une grande justesse, les mots posés sur ces instants douloureux sont réellement magnifiques et permettent de voir sous un jour nouveau ces derniers instants d'une vie sur le départ. Je conseille vraiment cette lecture qui est à la fois bouleversante et incroyablement lumineuse.
"Lorsqu'un être cher nous quitte, on ignore comment l'aider. Que vit-il ? Que veut dire sa mort ? Alors on se révolte, puis on se résigne... et rien n'est résolu. Face à tout cela, il existe pourtant une réponse, une attitude juste. C'est ce que nous propose ce livre- témoignage. A l'aide de la méthode de décorporation qui leur est propre, Anne et Daniel Meurois-Givaudan ont pu suivre pendant les derniers mois de sa vie, l'itinéraire d'Elisabeth, une femme parmi d'autres, atteinte d'un cancer. Semaine après semaine, ils ont donc fidèlement retranscrit le vécu de son être profond au seuil de la mort, ses métamorphoses et ses découvertes. Il résulte de leur travail d'écoute et d'accompagnement un véritable guide à l'usage de ceux qui veulent aider ceux qu'ils aiment à mieux partir. Ecrit avec le coeur, leur témoignage s'adresse aussi à tous ceux, encore nombreux, pour lesquels la mort demeure toujours un mystère, une source de crainte. Porteur d'informations précises et concrètes, " chronique d'un départ " est sans conteste un hymne à la vie et le messager d'un immense espoir."
"Lorsqu'un être cher nous quitte, on ignore comment l'aider. Que vit-il ? Que veut dire sa mort ? Alors on se révolte, puis on se résigne... et rien n'est résolu. Face à tout cela, il existe pourtant une réponse, une attitude juste. C'est ce que nous propose ce livre- témoignage. A l'aide de la méthode de décorporation qui leur est propre, Anne et Daniel Meurois-Givaudan ont pu suivre pendant les derniers mois de sa vie, l'itinéraire d'Elisabeth, une femme parmi d'autres, atteinte d'un cancer. Semaine après semaine, ils ont donc fidèlement retranscrit le vécu de son être profond au seuil de la mort, ses métamorphoses et ses découvertes. Il résulte de leur travail d'écoute et d'accompagnement un véritable guide à l'usage de ceux qui veulent aider ceux qu'ils aiment à mieux partir. Ecrit avec le coeur, leur témoignage s'adresse aussi à tous ceux, encore nombreux, pour lesquels la mort demeure toujours un mystère, une source de crainte. Porteur d'informations précises et concrètes, " chronique d'un départ " est sans conteste un hymne à la vie et le messager d'un immense espoir."
Re: Chronique d'un départ
Lu dans ce remarquable ouvrage que tout le monde devrait lire :
La mort est un mot qui fait peur. Mais c'est dommage, c'est juste une question de vocabulaire mal interprété. Il suffit pourtant se se référer à la langue des oiseaux pour voir au delà des apparences éclater la simple vérité dans toute sa beauté lumineuse :
On ne devrait pas entendre "La mort d'un proche" mais " L'âme hors d'un proche".
Et dès lors tout s'éclaire...
La mort est un mot qui fait peur. Mais c'est dommage, c'est juste une question de vocabulaire mal interprété. Il suffit pourtant se se référer à la langue des oiseaux pour voir au delà des apparences éclater la simple vérité dans toute sa beauté lumineuse :
On ne devrait pas entendre "La mort d'un proche" mais " L'âme hors d'un proche".
Et dès lors tout s'éclaire...
Re: Chronique d'un départ
Je ne connaissais pas ce livre. Pourtant j'en ai beaucoup des Meurois Givaudan. Leurs récits sont simples, du vécu.
Je crois que le ressenti au moment du départ d'un proche dépend aussi de l'émotionnel. On peut "savoir" certaines choses, en être même persuadé, et avoir un émotionnel perturbé qui fait qu'on ne réagit pas nécessairement comme on le voudrait. Alors ça complique un peu...
Il est pourtant préférable de se réjouir quand une personne s'en va car c'est tellement mieux, "là-haut" ! Enfant, j'ai longtemps ressenti une nostalgie d'un "ailleurs" tellement ... mieux.
Je crois que le ressenti au moment du départ d'un proche dépend aussi de l'émotionnel. On peut "savoir" certaines choses, en être même persuadé, et avoir un émotionnel perturbé qui fait qu'on ne réagit pas nécessairement comme on le voudrait. Alors ça complique un peu...
Il est pourtant préférable de se réjouir quand une personne s'en va car c'est tellement mieux, "là-haut" ! Enfant, j'ai longtemps ressenti une nostalgie d'un "ailleurs" tellement ... mieux.
chaton- Messages : 2661
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