Lire et connexions cérébrales

Lire et modification cérébrale

Pas beau, ça???

    

 

Pas étonnant puisque le cerveau ne fait pas la différence entre le réel, le virtuel, l'imaginaire et le symbolique. Il y a souvent, en effet, identification au personnage principal, et de ce fait on vit la scène en même temps que lui. Donc, surtout lorsqu'il est nécessaire de développer des stratégies de survie, le cerveau les élabore et doit probablement, par la suite:
- digérer l'aventure vécue
- élaborer d'autres stratégies pour le cas où celle qui a été vécue ne s'est pas déroulée comme il l'aurait voulu.

Combien de fois avons-nous ensuite rêvé que nous réécrivions l'histoire parce que la fin ne nous convenait pas ...

Là Chaton, tu me sidères, car tu es la seule à avoir compris.
J'attendais la suite moi... 

Pourquoi ? Bon, l'article n'allait pas très loin et faisait passer comme une merveilleuse nouvelle cette connexion des neurones. Mais j'ai remarqué que la science prend un ton triomphale lorsqu'elle découvre ce que tout le monde sait depuis bien longtemps. Sauf que là, maintenant, c'est "prouvé" ! Youpi !   

On sait bien qu'il est très important de continuer à apprendre, à lire, comme on dit à faire travailler ses neurones pour les entretenir. J'ai vu un jour une petite vidéo sur les dendrites des neurones qui se cherchent et se connectent dans le cerveau. C'est amusant.

OK ! j'ai compris ! il fallait cliquer sur le titre !  

Moi, ce que j'ai trouvé beau, c'est que ça soit visible en imagerie médicale

je viens, enfin, de lire l'article, et je ne suis pas du tout surprise, sachant par expérience d'une part, et par ce que j'avais appris de l'autre, comment nos neurones fonctionnent quand on lit, et j'ajouterai aussi quand on écoute de la bonne, de la vraie, musique, pas cette bastringue qui nous vrille les oreilles, fait sauter le cœur, et dont les paroles sont d'une telle pauvreté que ça fait pitié, au moins pour les 90% des "musiques" actuelles.
Aussi quand notre curiosité d'apprendre est toujours aussi vive...

Il ne tient qu'à nous d'avoir des neurones en bonne santé jusqu'à notre dernier souffle mais comme  pour tout il faut entretenir notre cerveau.